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Livre
1
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Anna Karénine
Rien ne va plus dans la maison de Stiva Oblonski à Moscou. Sa femme, Dolly, a découvert trois jours auparavant sa liaison avec l’institutrice française de leurs enfants. Anna Karénine, la soeur de Stiva, arrive le lendemain de Saint Pétersbourg, laissant pour quelques jours son mari et son fils Serge pour tenter d’arranger la situation. Le même jour, Oblonski rencontre son ami Lévine, un propriétaire terrien aux idées progressistes le faisant passer pour un homme étrange, qui revient de deux mois de retraite à la campagne, bien décidé à demander enfin la main de Kitty, la sœur de Dolly, dont il ne s’estimait jusque-là pas digne. Kitty a désormais un autre prétendant lui promettant un avenir plus sûr. Elle éconduit Lévine et lui préfère Vronski, un jeune et brillant officier, même si elle éprouve toujours des sentiments pour Lévine.Le lendemain matin, Oblonski et Vronski se retrouvent à la gare. Stiva vient chercher sa soeur Anna et Vronski sa mère. Vronski rencontre Anna qui le fascine aussitôt. Dans la gare, ce jour-là, un accident survient. Un homme est mort, passé sous le train, défiguré. Anna, émue, y voit un sombre présage.
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Tolstoi Leon
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0 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
387 |
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Livre
1
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Anna Karénine
Rien ne va plus dans la maison de Stiva Oblonski à Moscou. Sa femme, Dolly, a découvert trois jours auparavant sa liaison avec l’institutrice française de leurs enfants. Anna Karénine, la soeur de Stiva, arrive le lendemain de Saint Pétersbourg, laissant pour quelques jours son mari et son fils Serge pour tenter d’arranger la situation. Le même jour, Oblonski rencontre son ami Lévine, un propriétaire terrien aux idées progressistes le faisant passer pour un homme étrange, qui revient de deux mois de retraite à la campagne, bien décidé à demander enfin la main de Kitty, la sœur de Dolly, dont il ne s’estimait jusque-là pas digne. Kitty a désormais un autre prétendant lui promettant un avenir plus sûr. Elle éconduit Lévine et lui préfère Vronski, un jeune et brillant officier, même si elle éprouve toujours des sentiments pour Lévine.Le lendemain matin, Oblonski et Vronski se retrouvent à la gare. Stiva vient chercher sa soeur Anna et Vronski sa mère. Vronski rencontre Anna qui le fascine aussitôt. Dans la gare, ce jour-là, un accident survient. Un homme est mort, passé sous le train, défiguré. Anna, émue, y voit un sombre présage.
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Tolstoi Leon
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0 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
395 |
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Livre
1
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Au bonheur des dames
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Zola Emile
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1982 |
Grands classiques |
07-12-2016 |
333 |
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Livre
2
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Aventures de Monsieur Pickwick
Un matin de Noël, la joyeuse troupe des " Picwickiens ", aimables gentlemen partis au hasard des campagnes anglaises pour rendre compte de leurs " explorations " aux correspondants de leur club, se prépare à une séance de patinage. Quand Samuel Pickwick, leur membre fondateur, s'élance à son tour sur la glace, celle-ci cède sous le poids de son auguste bedaine... Mais, après tout, l'objet du club n'était-il pas de témoigner du danger des voyages, quand bien même ils ne conduiraient pas plus loin que le Kent ? Cette scène, l'une des plus fameuses de la littérature britannique, est l'oeuvre d'un jeune auteur de 24 ans que son premier roman, paru en feuilleton en 1836-1837, propulsa vers la gloire.
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Dickens Charles
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1971 |
Grands classiques |
17-02-2021 |
428 |
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Livre
1
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Bel ami
Deuxième roman de Maupassant, Bel-Ami se distingue en tous points d’Une vie. Mettant en vedette un arriviste balzacien, normand comme la falote Jeanne, mais si éloigné d’elle, l’œuvre est un hommage à Paris, terreau où se développe la crapule séduisante qu’est Duroy. Maupassant utilise son expérience de journaliste pour construire un roman de la presse, où le professionnalisme le dispute souvent à l’incompétence. Bel-Ami est aussi un hommage aux femmes qui, bien que malmenées par le séducteur, n’en sont pas moins singulières.
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Maupassant Guy De
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0 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
425 |
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Livre
1
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Candide et autres contes
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Voltaire
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2012 |
Grands classiques |
30-11--0001 |
553 |
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Livre
1
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Choses vues
Choses vues, entendues, notées sur le vif en forme de brèves, de caricatures ou de longs portraits, de récits bouleversants, d'enquêtes, de grands moments qui appartiennent désormais à l'histoire nationale, mais aussi de mots d'esprit, d'expressions glanées dans la rue - voici le siècle de Hugo. Cet extraordinaire recueil, constitué après la mort de Victor Hugo et sur sa recommandation, est fait de pièces et de morceaux recousus à partir de ses Carnets, de son Journal, de ses livres de comptes, de ce qu'il appelait lui-même «Pierres précieuses tombées de la tribune» - autant de lapsus qui plongent l'Assemblée dans le fou rire -, de Feuilles volantes, de Souvenirs personnels, de «Faits contemporains» que les éditeurs successifs se sont employés à classer, ici dans l'ordre chronologique.Dans ce livre, le XIXE siècle court de 1830 à 1885, sous l'œil acéré et sans complaisance du chroniqueur. Une traversée du siècle politique et littéraire, cocasse ou bouleversante, mais qui laisse souvent la place à l'homme intime, père passionné, déchiré en amour, plus tard vieux monsieur d'une sensualité débridée, lutteur infatigable contre la peine de mort, exilé irréductible aux séductions de l'Empire - Victor Hugo y apparaît comme un grand homme politique à la popularité inégalée...Des pages où le pétillement de l'esprit se mêle sans cesse aux plus terribles tragédies.
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Hugo Victor
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1973 |
Grands classiques |
17-02-2021 |
466 |
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Livre
1
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Contes du lundi
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Daudet Alphonse
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0 |
Grands classiques |
27-10-2021 |
407 |
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Livre
1
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Contes et romans
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Voltaire
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1968 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
400 |
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Livre
1
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Contes normands
Les Contes normands réunissent 66 récits, parmi lesquels : « Boule de Suif », « La maison Tellier », « Mademoiselle Fifi », « Farce normande », « Le père Milon », « Miss Harriet », « La ficelle », « La mère Sauvage », « Le petit fût », « Le crime au père Boniface », « Toine », « La bête à maît’ Belhomme », « Le père Amable », « Boitelle ».
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Maupassant Guy De
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1993 |
Grands classiques |
17-02-2021 |
405 |
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Livre
1
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Cousine Bette (la)
Lorsque, en 1846, Balzac publie La Cousine Bette, le roman doit constituer avec Le Cousin Pons le diptyque des Parents pauvres, l’unet l’autre accablés d’injures. Mais à la diffé-rence de Pons, qui sera le vieux musicien plein de cœur, dès l’origine La Cousine Bette devait voir la vieille fille disgraciée se venger de ses douleurs, ce qu’elle fera jusqu’à la ruine des siens.
Le premier projet s’est cependant élargi. Non seulement parce que les amours du baron Hulot vieillissant font de La Cousine Bette un roman érotique, et la dénonciation des affairistes dans le Paris de la monarchie de Juillet un roman de l’argent, mais parce que Balzac, renouvelant ses habitudes narratives pour mieux rivaliser avec les feuilletonistes, écrit là un livre d’action û un livre sombre, aussi, et qui n’écarte ni les ressorts ni les rebondissements du roman noir.
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Balzac Honoré De
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1969 |
Grands classiques |
10-02-2021 |
456 |
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Livre
1
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Crime et châtiment
A Saint-Pétersbourg, en 1865, Raskolnikov, un jeune noble sombre et altier, renfermé mais aussi généreux, a interrompu ses études faute d’argent. Endetté auprès de sa logeuse qui lui loue une étroite mansarde, il se sent écrasé par sa pauvreté. Mais il se croit aussi appelé à un grand avenir et, dédaigneux de la loi morale, se pense fondé à commettre un crime : ce qu’il va faire bientôt û de manière crapuleuse. Publié en huit livraisons par Le Messager russe au cours de l’année 1866, le roman de Dostoïevski montre en Raskolnikov un témoin de la misère, de l’alcoolisme et de la prostitution que l’auteur décrit sans voiles, un criminel aussi qui ne sait trop pourquoi il l’est devenu, tant les raisons qu’il s’invente pour agir sont contradictoires. Mais la tragédie n’exclut pas la vision d’une vie lumineuse, et le châtiment de son crime va lui permettre un long cheminement vers la vérité, et la renonciation à sa mélancolie brutale. Après quoi sera possible ce que l’épilogue annonce : l’initiation de Raskolnikov à une réalité nouvelle, le passage d’un monde à un autre monde.
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Dostoïevski Fedor Mikhaïlovitch
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1969 |
Grands classiques |
10-02-2021 |
404 |
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Livre
1
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Crime et châtiment
A Saint-Pétersbourg, en 1865, Raskolnikov, un jeune noble sombre et altier, renfermé mais aussi généreux, a interrompu ses études faute d’argent. Endetté auprès de sa logeuse qui lui loue une étroite mansarde, il se sent écrasé par sa pauvreté. Mais il se croit aussi appelé à un grand avenir et, dédaigneux de la loi morale, se pense fondé à commettre un crime : ce qu’il va faire bientôt û de manière crapuleuse. Publié en huit livraisons par Le Messager russe au cours de l’année 1866, le roman de Dostoïevski montre en Raskolnikov un témoin de la misère, de l’alcoolisme et de la prostitution que l’auteur décrit sans voiles, un criminel aussi qui ne sait trop pourquoi il l’est devenu, tant les raisons qu’il s’invente pour agir sont contradictoires. Mais la tragédie n’exclut pas la vision d’une vie lumineuse, et le châtiment de son crime va lui permettre un long cheminement vers la vérité, et la renonciation à sa mélancolie brutale. Après quoi sera possible ce que l’épilogue annonce : l’initiation de Raskolnikov à une réalité nouvelle, le passage d’un monde à un autre monde.
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Dostoïevski Fedor Mikhaïlovitch
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1969 |
Grands classiques |
10-02-2021 |
355 |
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Livre
1
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Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes
Discours sur les sciences et les arts
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ROUSSEAU Jean-Jacques
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1992 |
Grands classiques |
30-11--0001 |
421 |
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Livre
1
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Du côté de chez Swann
"Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté... Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur goutelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir."
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Proust Marcel
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1992 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
588 |
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Livre
1
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Du côté de chez Swann
"Et tout d'un coup le souvenir m'est apparu. Ce goût, c'était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l'heure de la messe), quand j'allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m'offrait après l'avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m'avait rien rappelé avant que je n'y eusse goûté... Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur goutelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir."
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Proust Marcel
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1992 |
Grands classiques |
24-02-2021 |
623 |
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Livre
1
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Fort comme la mort
Le peintre Olivier Bertin, artiste parisien académique et reconnu, partage sa va- entre son atelier, son cercle d’amis et le salon de sa maîtresse, la comtesse Anne de Guilleroy, familièrement nommée Any. Cette liaison de douze années avec une mondaine dont il a fait le portrait assure à l’artiste le succès et la chaleur d’une affection sans faille. Cependant elle oriente aussi sa peinture vers des sujets gracieux et conventionnels, fige son élan créateur et l’empêche de se renouveler.
Or la fille d’Any, Annette, revient à Paris afin d’effectuer son entrée dans le monde et de se marier. Peu à peu, lors de promenades communes dans les parcs parisiens, puis lors de l'inauguration du Salon annuel de peinture, Olivier s’éprend de cette jeune fille qui ressemble de plus en plus à sa mère, la maîtresse d’autrefois...
La seconde partie du roman débute à Roncières, dans la campagne de l’Eure, propriété de la famille où la mère d’Any vient de mourir. Cette dernière, éprouvée par le deuil, défigurée par ses larmes, constate avec effroi que sa beauté s’enfuit et que sa fille attire seule désormais les regards d’Olivier. Elle précipite alors le retour à Paris, résolue à accélérer le mariage de sa fille avec le marquis de Farandal. Cette décision provoque la jalousie de Bertin, torturé par l’impossibilité de retrouver sa jeunesse enfuie au moment même où un article de journal dénonce son « art démodé ». Touchant aux limites de la souffrance, le peintre, après une dernière entrevue avec Any qu’il a suppliée de brûler les lettres de leur liaison défunte, tombe et se blesse mortellement sous un omnibus : accident ou suicide ?
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Maupassant Guy De
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1968 |
Grands classiques |
10-02-2021 |
409 |
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Livre
1
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Germinal
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Zola Emile
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1982 |
Grands classiques |
07-12-2016 |
328 |
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Livre
1
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Histoires naturelles
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Renard Jules
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1992 |
Grands classiques |
27-10-2021 |
418 |
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Livre
1
|
L'Argent
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Zola Emile
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1982 |
Grands classiques |
30-11--0001 |
328 |